Tout d’abord, je me suis pleinement engagé pour le maintien de 2 300 hectares de terres agricoles sur le Plateau de Saclay : il faut être très attentifs sur ce point face à toutes les initiatives de l’État qui conduiraient à ne pas le respecter.
Par ailleurs, il faut rester extrêmement exigeants face à tout aménagement et fixer des préalables incontournables, notamment sur la question des transports (priorité à la rénovation du RER B) et sur la question hydraulique.
Je me suis également déjà exprimé sur mon opposition au déménagement intégral de l’Université sur le Plateau, ainsi qu’à l’implantation d’établissements sans démarche de mutualisation effective.
Enfin, je plaide pour que les élus locaux soient associés afin qu’aucune initiative ne soit prise au détriment de notre quotidien et de notre environnement. Il serait donc opportun que l’État ne se borne pas à imaginer des projets pharaoniques à 20 ans en oubliant les besoins criants et urgents du présent (aménagement du ring de Courtaboeuf, du rond-point de Mondétour, rénovation du RER B…).
David Ros